exposition Domotique, Nantes, vernissage le 13.12.14

Domotique 

exposition proposée par dont Non-Profit Space et HAAG
avec
          Jules Bouteleux
          Ceel Mogami de Haas
          Olivier Magnier
          Marion Richomme
          David Rybak
 
vernissage le 13 décembre à partir de 16h au 3 rue Dufour à Nantes.
L'exposition restera visible sur rendez-vous (+33.6.50.26.00.90) jusqu'au 1er février 2015.

Invité par Non-Profit Space à penser une exposition dans le cadre très particulier d'un appartement devant conserver une double fonction de domicile et d'espace de travail, HAAG a réuni cinq artistes dont le travail questionne les différentes fonctions de l'habitat : de la simple conservation - toits et murs - à des fonctions de prestige - le domicile comme lieu de monstration privé de l'art - de loisirs ou de bien-être.
Prenant parti des spécificités des espaces et surfaces particulières à ce domicile, Domotique se love et envahit, se pose plutôt qu'il ne s'accroche, exploitant les dimensions du plan, du volume et du son entre appui et fragilité.

Non-Profit Space, situé à Nantes, est à l’initiative de Romain Boulay.

voir l'article sur le blog de David  Rybak 

They were corrupted by colors, sounds and shapes

L'appartement, rue de Hénnin 80, 1050 Bruxelles

avec : Olivier Magnier, Benjamin Ottoz, 

Céline Prestavoine, Jean-Philippe Tromme.

vernissage vendredi 19 avril à partir de 17h

Exposition ouverte samedi & dimanche 11h-18h

en présence des artistes

Première exposition collective organisée par HAAG, They were corrupted by colors, sounds and shapes présente le travail de quatre artistes : Olivier Magnier, Benjamin Ottoz, Céline Prestavoine et Jean-Philippe Tromme.

Faire rencontrer ces artistes devient l'occasion d’un questionnement sur les matériaux, les couleurs, leur nature, leur élasticité / plasticité ; aller à l’encontre de, corrompre ou transformer la matière. On retrouve aussi un certain rapport au commun, à l’objet, et à son déplacement. Anamorphose imperceptible, insaisissables formes, fugacité des couleurs, fragilité, ou encore l’étrangeté comme posture pour appréhender le réel. Mais au delà des points communs, cette rencontre est l’occasion de se perdre dans l’espace, de créer des possibles, des écarts. ///  /

>>> texte de Laurie Etourneau